Aller au contenu

Comment Warren Buffett, milliardaire, paient moins d’impôts que sa secrétaire!

Les trois hommes les plus riches du monde, Elon Musk, Jeff Bezos et Warren Buffett, ont étonnamment un point commun: ils paient un taux d’impôt inférieur à celui de la plupart des citoyens ordinaires.

En fait, Warren Buffett paie un taux d’imposition inférieur à celui de sa secrétaire!

Il a dit une fois: « Elle paie le double du taux que je paie, je pense que c’est scandaleux. »

Comment font-ils pour s’échapper à la voracité du fisc?

Ils sont simplement très doués pour jongler avec les failles de la législation fiscale, comme le révèlent leurs déclarations de revenus.

ACHETER, EMPRUNTER, MOURIR: la stratégie fiscale digne d’un James Bond

Dans l’univers fiscal des milliardaires, la stratégie « ACHETER, EMPRUNTER, MOURIR » fait fureur.

L’idée est simple: ils achètent un actif, l’utilisent comme garantie pour emprunter et, enfin, laissent leurs héritiers récupérer la mise à leur mort.

Cela leur permet de consommer sans débloquer de liquidités et d’éviter l’impôt sur les plus-values.

Elon Musk, par exemple, vit principalement de prêts garantis par ses actions, sans jamais les vendre. Pas de vente, pas de taxes!

LIRE   Quel sera le sort de la fortune de Bill Gates après son décès?

Lobbyistes et avocats: les armes secrètes des riches pour rester riches

Les milliardaires n’hésitent pas à faire appel à des lobbyistes et des avocats dévoués pour maintenir leurs impôts bas et protéger leur fortune.

Ils investissent dans des politiques favorables à leurs intérêts et contournent les taxes sur les successions grâce à des fiducies complexes et des fondations philanthropiques.

Ainsi, leurs héritiers peuvent recevoir des actifs en franchise d’impôt, perpétuant le cycle de la super-richesse.

En somme, les milliardaires sont des génies de l’évasion fiscale, exploitant les failles du système pour éviter de payer des impôts à la hauteur de leur fortune.

Pendant ce temps, les citoyens ordinaires continuent de travailler dur et de payer leur part.

Finalement, il semble que l’adage « l’argent appelle l’argent » n’a jamais été aussi vrai!