Zoe Wynns, une musicienne de la génération Z, a déclenché une tempête sur les réseaux sociaux en dévoilant son plan audacieux pour échapper à la vie de bureau classique.
La jeune artiste encourage ardemment les internautes à écouter sa musique, arguant qu’elle est tout simplement incapable de s’enfermer de 9 heures du matin à 17 heures.
Cependant, ses déclarations ont déclenché une pluie de critiques qui ont secoué son monde virtuel.
Le cri du cœur de Zoe
Installée dans sa voiture, Zoe, âgée de 20 ans, a publié une vidéo sur Instagram début octobre pour partager son désarroi face à l’idée de travailler 8 heures par jour dans un bureau.
« Je ne peux pas faire un travail de 9h à 17h », avoue-t-elle à ses 2 500 abonnés, provoquant des regards incrédules et des soupirs du monde entier.
Pleurs et tâches non créatives
La jeune musicienne ne retient pas ses larmes en expliquant qu’elle est sujette à des crises de pleurs dès qu’elle doit accomplir trois tâches non créatives dans une journée.
Elle affirme qu’imaginer une vie entière à faire quelque chose qu’elle n’aime pas lui est tout simplement insupportable.
Est-ce le début d’une épidémie de phobie des tâches non créatives chez la génération Z?
« Une vie normale nous tue »
Zoe cite une émission pour justifier son refus catégorique de mener une vie normale.
« Les gens comme nous ne peuvent pas vivre une vie normale. Si nous essayons, cela nous tue », déclare-t-elle avec un sérieux presque comique.
La question qui brûle les lèvres de ses détracteurs: la musique est-elle vraiment la seule échappatoire à cette mort annoncée?
Zoe face à la vague de critiques
Après avoir fait la promotion de sa musique sur toutes les plateformes, Zoe n’a pas échappé aux critiques acerbes.
Les internautes, la qualifiant d' »enfant gâtée », lui demandent de « grandir » et de faire face à la réalité comme tout le monde.
La jeune musicienne, malgré les tempêtes numériques, reste convaincue que son destin réside dans les accords et les mélodies, loin des couloirs ennuyeux des bureaux de 9 à 17 heures.